Plus d’une décennie s’est déjà écoulée depuis la mise à disposition du 1er vaccin quadrivalent (HPV 6, 11, 16, 18) en 2006 puis le bivalent (HPV 16, 18). Plus récemment, la FDA a approuvé un nouveau vaccin nonavalent (HPV 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52, 58). Les résultats cliniques étaient équivalents avec près de 100% de réduction de risque de survenue de lésions précancéreuses chez les jeunes femmes de 15 à 26 ans quel que soit le vaccin…
Ainsi, on pourrait contrôler (éradiquer ?) les cancers liés à l’infection HPV s’il devenait un problème de santé publique mondiale ce d’autant que la vaccination peut se simplifier à une injection unique qui confère une immunité équivalente à 3 et prolongée.
Plus d’excuse, mobilisons-nous !
Source : direct.chicago2018.cancero.net