L’anémie des syndromes myéloprolifératifs (SMD) de bas grade et de la myélofibrose devient progressivement résistante aux traitements. Les patients deviennent dépendants des transfusions qui conduisent à des surcharges en fer, une diminution de la qualité de vie et une survie réduite.
Ces transfusions représenteraient par ailleurs une dépense importante, avec un coût moyen estimé par patient entre 10 et 15.000€/an pour les seuls produits sanguins. Le luspatercept représenterait une piste intéressante chez les patients anémiques ne répondant plus aux traitements habituels.
Source : Hemato