Source : Catalogue SUDOC
Cf action DPC : Lombalgie chronique & prévention de l’invalidité
Source : Catalogue SUDOC
Cf action DPC : Lombalgie chronique & prévention de l’invalidité
Objectifs : cette thèse a pour but d’étudier l’intérêt du test de maintien d’éveil (TME) dans l’évaluation du risque accidentel lié à la somnolence diurne excessive (SDE), tout en mettant cette évaluation en perspective dans la pratique de médecine générale. Une étude de la SFRMS (Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil) cherche à établir un lien entre les latences moyennes d’endormissement au TME et le risque accidentel. L’étude pilote de cette thèse a pour but d’élaborer et d’évaluer la compréhension d’un questionnaire pour l’étude de la SFRMS, d’élaborer une note d’information et de recueil du consentement, et d’analyser les premiers résultats.
Conclusion : le TME est un test pertinent pour évaluer le risque accidentel lié à la SDE. C’est un examen spécialisé que le médecin généraliste ne peut directement utiliser. Il reste à sa disposition des tests subjectifs pour évaluer la SDE et le risque accidentel. La connaissance du TME et des facteurs de risque accidentel liés à la somnolence lui permet de travailler en étroite collaboration, avec le médecin du sommeil, et avec le médecin agréé.
Cf DPC « Les apnées du sommeil: prise en charge actuelle » du 17/10/2017
La mission confiée en 2014 à un groupe de travail par les deux ministres en charge des affaires sociales et du travail a eu notamment pour mérite d’identifier qu’au-delà des catégories socioprofessionnelles touchées et de l’âge des salariés concernés, 95 % des salariés déclarés inaptes étaient licenciés.
Face à un tel constat, les rapporteurs ont présenté un certain nombre de solutions dont la loi du 8 août 2016 s’inspire très largement et qui profite de l’occasion pour offrir une définition de l’inaptitude comme celle résultant du constat par le médecin du travail « qu’aucune mesure d’aménagement, d’adaptation ou de transformation du poste de travail n’est possible et que l’état de santé du salarié justifie un changement de poste ».
Source : La réforme de l’inaptitude et ses enjeux – WK-CE